J - 3 jeudi 17 avril 2025 Osthouse

 

Une dernière piqûre ce matin ; je me sens l’âme d’un petit hérisson.

Puis, retour dans les bagages et la réflexion : que mettre en soute, qu’emmener dans l’avion, sachant que nous avons 4 sacoches avant et 4 sacoches arrière à caser ? Claude s’occupe des outils indispensables à la réparation des vélos et des divers appareillages : photo, caméra, cartes mémoires, luminaires ; mon rayon c’est plutôt trousses de toilette, secours, filtre à eau. De quoi occuper cette morne journée de pluie. Sy.

 

J- 2 vendredi 18 avril 2025

 

Ça y est : les cartons à vélo sont scotchés, les sacoches bouclées. Reste plus qu’à : chercher la voiture de location, aller à Paris et affronter les enregistrements. Il faut savoir que nous n’avons qu’une « option vélo » sur nos vols, ce qui veut dire qu’à Sao Paulo, nous n’avons pas la garantie de pouvoir embarquer les bicyclettes sur le vol suivant vers Santa Cruz de la Sierra. Irons-nous jusqu’en Bolivie ou allons-nous explorer le Brésil ? Mystère… Sy.

 

J- 1 samedi 19 avril 2025 O- Paris

 

Tout va bien. Nous sommes en salle d’embarquement, les bagages ont été confiés à Air France. Grâce à une adorable employée d’Air France et son collègue brésilien nous avons le renseignement tant désiré : nos vélos et le sac en soute continueront le voyage jusqu’à Santa Cruz, sans intervention de notre part. Ouf !

 

Petits accrocs tout de même sans quoi la journée aurait été trop monotone, nous avons mis au moins 20 minutes à trouver comment ouvrir le réservoir à essence de la voiture de location et plus assez d’essence pour aller à l’aéroport. Vous comprendrez aisément pourquoi nous privilégions le vélo.

A l’aéroport, le passeport de Claude n’a pas pu être scanné automatiquement, il a ainsi fait la queue à la douane et il a fait bipé la sécurité ! Il faut toujours qu’il se fasse remarquer ; la prochaine fois, je pars sans lui. Sy.

Les Syclau sur la piste des Incas
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